Le Cameroun est devenu la risée du monde: le cabinet dupont-moretti va ridiculiser les magistrats
camerounais et expose les failles de la justice camerounaise aux yeux du monde. L’homme qui a traumatisé les magistrats français arrive au Cameroun. Dans les prochains jours, un cabinet américain entre dans la danse
Pourquoi nous avons besoin d'Eric Dupond-Moretti?
"L'homme aux 111 acquittements, et partant, l'un des avocats les plus redoutés de la France a décidé de défendre Maurice Kamto et les autres détenus.il rejoint ainsi Me Simh, Me Souop, Me KOM, Me Ayah et les autres en charge de cette affaire et dont, ma foi, l'efficacité ne souffre de rien mais alors de rien. D'ailleurs le contentieux électoral avait déjà donné l'occasion à chaque Camerounais de découvrir certains d'entre eux et de se faire une idée très positive de leurs compétences...
Il faut qu'on se le dise en toute sincérité toutefois, même l'avocat le plus nul serait à même de défendre Maurice Kamto face à ce régime "sucocrate" en contexte de justice égalitaire. Et même, en contexte de justice égalitaire on n'arrête pas des individus pour avoir manifesté leurs droits les plus légitimes et légaux.
En contexte de justice égalitaire, nous serions en train d'assister aux procès des mis en cause dans les faits suivants commis sur les " marcheurs blancs":
-tirs sur les manifestants;
- violences physiques de tous ordres;
- violation des domiciles et trouble de jouissance;
- enlèvement des individus dans des lieux publics;
- privation de soins aux blessés...etc.
La prise en otage de Maurice Kamto par la secte terroriste du gouvernement Biya est une violation grave du droit et des libertés que tout avocat, même le plus novice, peut démontrer. Je veux dire que le crime est trop flagrant, tellement flagrant que nous n'avons pas besoin (nos avocats alors très compétents) d'un soutien extérieur pour l'étaler au jour.
Nos avocats ont depuis le début de cette parodie souligné avec clarté la consonnance vaseuse et le caractère creux et ridicule des accusations portées contre les "marcheurs blancs". Ils ont démontré sans trop d'efforts qu'il s'agit là d'un non-lieu.
N'oublions pas que ce sont ces mêmes avocats (ou certains d'entre eux) qui avaient si joliment mis à nu devant le monde entier le vrai visage de l'élection au Cameroun. Malgré leurs démonstrations, c'est en regardant Maurice Kamto droit dans les yeux que le saint diable Atangana Clément a opposé une fin de non recevabilité à toutes les requêtes pourtant fondées du président élu.
J'en viens à dire, au regard de cet événement ubuesque dont le souvenir retourne l'estomac, que notre problème n'a jamais été d'écraser juridiquement cette mafia mexicaine qui se confond à un gouvernement. Notre problème est que nous sommes dans une tyrannie ; et comme dans toute tyrannie le droit chez nous et la justice sont supplantés par l'égo du tyran et ce , sous le regard de la communauté internationale brouillé par des contrats d'éternité sur nos ressources naturelles.
C'est pour cette raison que le tyran peut se moquer du droit, y compris du droit international...
jusqu'à ce que quelqu'un comme Moretti entre dans la danse. Et c'est là qu'on a besoin de lui.
On a besoin qu'il joue essentiellement, je dis bien essentiellement, sa partition à l'échelle internationale. Une vaste campagne médiatique nous aiderait. Parce que, lorqu'un homme comme lui parle d'une affaire sur LCI ou sur ITELE , l'écho de celle-ci parcourt le monde et chatouille dans le mauvais sens l'ouïe du moindre investisseur à même de prendre le risque de gaspiller quelques billets au Cameroun.
L'entrée en jeu de Moretti ne nous aidera pas à prouver que Maurice Kamto et les autres ne sont coupables de rien. Nos avocats s'en chargent valablement. Son entrée va détruire le château de sable que Biya croyait jusqu'ici avoir bâti sur du roc. Ce n'est pas seulement la libération des marcheurs blancs qu'on y gagne, c'est bien plus que çà...enfin... comme je vois, la dictature sera une fois de plus et des plus belles EXPOSÉE." Par Kand Owalski
COMMUNIQUE DU CABINET DUPONT-MORETTI"L'homme aux 111 acquittements, et partant, l'un des avocats les plus redoutés de la France a décidé de défendre Maurice Kamto et les autres détenus.il rejoint ainsi Me Simh, Me Souop, Me KOM, Me Ayah et les autres en charge de cette affaire et dont, ma foi, l'efficacité ne souffre de rien mais alors de rien. D'ailleurs le contentieux électoral avait déjà donné l'occasion à chaque Camerounais de découvrir certains d'entre eux et de se faire une idée très positive de leurs compétences...
Il faut qu'on se le dise en toute sincérité toutefois, même l'avocat le plus nul serait à même de défendre Maurice Kamto face à ce régime "sucocrate" en contexte de justice égalitaire. Et même, en contexte de justice égalitaire on n'arrête pas des individus pour avoir manifesté leurs droits les plus légitimes et légaux.
En contexte de justice égalitaire, nous serions en train d'assister aux procès des mis en cause dans les faits suivants commis sur les " marcheurs blancs":
-tirs sur les manifestants;
- violences physiques de tous ordres;
- violation des domiciles et trouble de jouissance;
- enlèvement des individus dans des lieux publics;
- privation de soins aux blessés...etc.
La prise en otage de Maurice Kamto par la secte terroriste du gouvernement Biya est une violation grave du droit et des libertés que tout avocat, même le plus novice, peut démontrer. Je veux dire que le crime est trop flagrant, tellement flagrant que nous n'avons pas besoin (nos avocats alors très compétents) d'un soutien extérieur pour l'étaler au jour.
Nos avocats ont depuis le début de cette parodie souligné avec clarté la consonnance vaseuse et le caractère creux et ridicule des accusations portées contre les "marcheurs blancs". Ils ont démontré sans trop d'efforts qu'il s'agit là d'un non-lieu.
N'oublions pas que ce sont ces mêmes avocats (ou certains d'entre eux) qui avaient si joliment mis à nu devant le monde entier le vrai visage de l'élection au Cameroun. Malgré leurs démonstrations, c'est en regardant Maurice Kamto droit dans les yeux que le saint diable Atangana Clément a opposé une fin de non recevabilité à toutes les requêtes pourtant fondées du président élu.
J'en viens à dire, au regard de cet événement ubuesque dont le souvenir retourne l'estomac, que notre problème n'a jamais été d'écraser juridiquement cette mafia mexicaine qui se confond à un gouvernement. Notre problème est que nous sommes dans une tyrannie ; et comme dans toute tyrannie le droit chez nous et la justice sont supplantés par l'égo du tyran et ce , sous le regard de la communauté internationale brouillé par des contrats d'éternité sur nos ressources naturelles.
C'est pour cette raison que le tyran peut se moquer du droit, y compris du droit international...
jusqu'à ce que quelqu'un comme Moretti entre dans la danse. Et c'est là qu'on a besoin de lui.
On a besoin qu'il joue essentiellement, je dis bien essentiellement, sa partition à l'échelle internationale. Une vaste campagne médiatique nous aiderait. Parce que, lorqu'un homme comme lui parle d'une affaire sur LCI ou sur ITELE , l'écho de celle-ci parcourt le monde et chatouille dans le mauvais sens l'ouïe du moindre investisseur à même de prendre le risque de gaspiller quelques billets au Cameroun.
L'entrée en jeu de Moretti ne nous aidera pas à prouver que Maurice Kamto et les autres ne sont coupables de rien. Nos avocats s'en chargent valablement. Son entrée va détruire le château de sable que Biya croyait jusqu'ici avoir bâti sur du roc. Ce n'est pas seulement la libération des marcheurs blancs qu'on y gagne, c'est bien plus que çà...enfin... comme je vois, la dictature sera une fois de plus et des plus belles EXPOSÉE." Par Kand Owalski
Situation de M. Maurice KAMTO, opposant politique camerounais victime d’une détention arbitraire
M. Maurice KAMTO, de nationalité camerounaise, professeur
d’université, avocat inscrit au Barreau de Paris et homme politique, est
le président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC),
principal opposant au pouvoir en place au Cameroun. Arrivé
officiellement en seconde position aux élections présidentielles du mois
d’octobre 2018, M. Maurice KAMTO a revendiqué la victoire, et contesté
la réélection du Président Paul BIYA. Il fait aujourd’hui, avec plus
d’une centaine d’autres opposants, l’objet de persécutions prenant la
forme de poursuites judiciaires conduisant à des détentions arbitraires.
Le 26 janvier 2019, le MRC a organisé des marches totalement pacifiques afin de protester contre les pratiques des autorités camerounaises. De nombreux militants et manifestants ont alors été blessés par les tirs à balles réelles des forces de l’ordre, d’autres arrêtés et gardés à vue depuis lors dans des conditions illégales et gravement attentatoires à leurs droits fondamentaux.
Le 28 janvier, vers 19h30, M. Maurice KAMTO a été arrêté de manière illégale et arbitraire à Douala lors d’une réunion au domicile d’un partisan, de même que près de quatre-vingts personnes, proches, cadres et sympathisants du MRC et journalistes, sur la base d’un mandat de perquisition signé du Procureur de la République de Douala Ndokoti. Il a ensuite été conduit dans la nuit au Groupement Spécial d’Opérations à Yaoundé, service rattaché à la Délégation générale de la sûreté nationale, sans aucune notification d’un quelconque acte justifiant une garde à vue. Ses avocats n’ont pu le localiser et à accéder à lui que deux jours plus tard.
Inculpé notamment pour insurrection, rébellion en groupe, trouble à l’ordre public et hostilité contre la patrie, M. Maurice KAMTO est désormais arbitrairement détenu, et doit être auditionné par le juge d’instruction du Tribunal militaire de Yaoundé le 26 février prochain.
M. Maurice KAMTO dénonce les persécutions à caractère politique dont il est victime, et les manquements répétés à ses droits les plus fondamentaux.
Me DUPOND-MORETTI devrait s’entretenir prochainement avec lui dans le cadre d’une visite qu’il va solliciter auprès des autorités camerounaises.
Au-delà des recours qui pourront être lancés devant les juridictions camerounaises, sur laquelle les récentes analyses des observateurs internationaux constatent la mainmise du pouvoir politique, Me DUPOND-MORETTI entend saisir toute instance internationale susceptible de constater ces violations, et appeler la communauté internationale à intervenir pour garantir le respect des droits fondamentaux de M. Maurice KAMTO et sa libération.
CABINET DUPONT-MORETTI
Le 26 janvier 2019, le MRC a organisé des marches totalement pacifiques afin de protester contre les pratiques des autorités camerounaises. De nombreux militants et manifestants ont alors été blessés par les tirs à balles réelles des forces de l’ordre, d’autres arrêtés et gardés à vue depuis lors dans des conditions illégales et gravement attentatoires à leurs droits fondamentaux.
Le 28 janvier, vers 19h30, M. Maurice KAMTO a été arrêté de manière illégale et arbitraire à Douala lors d’une réunion au domicile d’un partisan, de même que près de quatre-vingts personnes, proches, cadres et sympathisants du MRC et journalistes, sur la base d’un mandat de perquisition signé du Procureur de la République de Douala Ndokoti. Il a ensuite été conduit dans la nuit au Groupement Spécial d’Opérations à Yaoundé, service rattaché à la Délégation générale de la sûreté nationale, sans aucune notification d’un quelconque acte justifiant une garde à vue. Ses avocats n’ont pu le localiser et à accéder à lui que deux jours plus tard.
Inculpé notamment pour insurrection, rébellion en groupe, trouble à l’ordre public et hostilité contre la patrie, M. Maurice KAMTO est désormais arbitrairement détenu, et doit être auditionné par le juge d’instruction du Tribunal militaire de Yaoundé le 26 février prochain.
M. Maurice KAMTO dénonce les persécutions à caractère politique dont il est victime, et les manquements répétés à ses droits les plus fondamentaux.
Me DUPOND-MORETTI devrait s’entretenir prochainement avec lui dans le cadre d’une visite qu’il va solliciter auprès des autorités camerounaises.
Au-delà des recours qui pourront être lancés devant les juridictions camerounaises, sur laquelle les récentes analyses des observateurs internationaux constatent la mainmise du pouvoir politique, Me DUPOND-MORETTI entend saisir toute instance internationale susceptible de constater ces violations, et appeler la communauté internationale à intervenir pour garantir le respect des droits fondamentaux de M. Maurice KAMTO et sa libération.
CABINET DUPONT-MORETTI