Facebook continue son combat contre le harcèlement en ligne et
les fausses informations. Outre
Atlantique, le réseau social aux deux
milliards d’utilisateurs teste actuellement un nouveau bouton, le
"downvote", visant à modérer les commentaires problématiques. Longtemps
critiqué pour son laxisme, Facebook a confirmé l’information au site
spécialisé The Verge. Concrètement, si un utilisateur clique sur ce
bouton, situé à côté du "j’aime" ...
Facebook
continue son combat contre le harcèlement en ligne et les fausses
informations. Outre Atlantique, le réseau social aux deux milliards
d’utilisateurs teste actuellement un nouveau bouton, le "downvote",
visant à modérer les commentaires problématiques. Longtemps critiqué
pour son laxisme, Facebook a confirmé l’information au site spécialisé The Verge.
Concrètement, si un utilisateur clique sur ce bouton, situé à côté du
"j’aime" et "répondre", le commentaire sera automatiquement masqué.
L’internaute sera alors invité à motiver cette restriction en précisant
si les propos étaient "offensants", "trompeurs" ou "hors sujet". Ainsi,
le réseau social espère repérer et modérer plus facilement les contenus
inappropriés, mais aussi permettre à ses utilisateurs de garder le
contrôle sur ce qu’ils voient apparaître dans leur fil d’actualité.
Voyez plutôt :
Cependant, Facebook précise que le "downvote" n’a rien à voir avec le bouton "je n’aime pas", souvent réclamé par ses utilisateurs : "Nous ne testons pas un bouton “je n’aime pas”. Nous étudions une fonction permettant aux utilisateurs de nous faire un retour." Car le réseau social tient à rester un espace d’échange positif, où le rejet n’a pas sa place.
Pour l’heure, seulement 5% d’utilisateurs américains ont été choisis
pour tester cette nouvelle fonctionnalité sur Android. De même, cette
dernière n’a pour l'instant été uniquement mise en place sur les
commentaires postés sur des pages publiques. Les groupes, célébrités et
utilisateurs n’en bénéficient donc pas encore. Reste à savoir si ce type
de modération sera vraiment efficace.