« Nous avons des politiques claires et établies en matière de désinformation médicale sur le Covid-19… Afin d’empêcher la diffusion de fausses informations sur le Covid-19 pouvant nuire au monde réel », indique un communiqué de YouTube.
Avec 1,86 million d’abonnés à YouTube, la chaîne est suivie par des conservateurs bien au-delà de l’Australie.
Remise en question de l’existence de la pandémie
Ses vidéos, dont certaines remettent en question l’existence d’une pandémie et l’efficacité des vaccins, sont largement partagées sur les réseaux sociaux à l’international.
La dernière mise en ligne sur YouTube, qui date d’il y a trois jours, montre un animateur affirmant que les mesures de confinement ont échoué. Il a notamment critiqué la décision des autorités qui ont prolongé ces mesures à Sydney.
Trois types de sanctions différentes
Sky News a confirmé avoir été bloquée temporairement par YouTube. « Nous soutenons les discussions et les débats sur un large éventail de sujets et de points de vue, ce qui est vital pour toute démocratie », a déclaré un porte-parole.
Ajoutant : « Nous prenons au sérieux notre engagement à répondre aux attentes de la rédaction et de la communauté ».
YouTube peut sanctionner de trois manières différentes en cas de violations : la première est une suspension d’une semaine, puis de deux semaines en cas de récidive dans les 90 jours et en dernier lieu un retrait permanent de la plate-forme.
Par Ouest-France