
L’Afrique est un grand continent avec beaucoup de tribus et de
cultures, les zoulous, les xhosas, les
himbas, les Igbos, les Haoussas,
les Akans…, le continent noir avec cette diversité peut se vanter
d’avoir environ trois mille tribus africaines.
Une tribu ougandaise a récemment intéressé notre rédaction, en raison
de sa façon de préparer ses femmes au mariage. Une préparation qui a un
trait très particulier par rapport aux autres tribus africaines.
Dans de nombreuses cultures africaines, les tantes offrent des
conseils à leurs jeunes nièces au fur et à mesure qu’elles passent de
l’adolescence à l’âge adulte. Quand il s’agit de mariage, ces tantes
préparent leurs nièces aux défis qui les attendent.
Quelle influence les tantes ont-elles sur leurs nièces?
Eh bien, pour le peuple Banyankole dans le sud-ouest de l’Ouganda, la
tante fait plus que ce qui est cité plus haut, surtout pendant le
mariage.
Quand un couple veut se marier, la responsabilité principale de la
tante de la mariée est d’effectuer un contrôle sexuel sur sa nièce et
son neveu-frère. Eh oui! la tante effectue son contrôle en ayant des
rapports sexuels avec le marié pour vérifier sa puissance et sa
virilité.
Elle doit aussi «tester» si la mariée est encore vierge avant de
pouvoir consommer leur mariage. Une façon de montrer que cette tribu
tient beaucoup à la virginité des futures mariées.
Dans d’autres traditions, on dit que la tante va aussi loin en
écoutant ou regardant les mariés faire l’amour afin de prouver la
puissance du couple.
Dès qu’une fille Banyankole a huit ans, elle subit de nombreuses restrictions pour la préparer au mariage.
Pendant que d’autres enfants de son âge s’amusent à travers le monde,
une fille de cette partie de l’Ouganda est principalement gardée à
l’intérieur, où elle est nourrie au bœuf et au millet et obligée de
boire du lait en grande quantité pour se développer physiquement très
vite.
Être grosse est synonyme de beauté chez les Banyankoles.
Quand elle commence à développer des seins, ses parents lui demandent également de s’abstenir d’activités sexuelles.
Il est du devoir d’un père Banyankole de trouver une femme pour son
fils, car il paie également la dot. Cela se compose de quelques vaches,
chèvres et pots de bière, selon la richesse de la personne.
Une fois la dot de la fiancée payé, les préparatifs du mariage
commencent. Le jour du mariage, il y a beaucoup de festins à la maison
de la mariée, où le père devrait abattre un taureau.
Chez le marié, il y a une autre fête où le mariage est consommé. Mais
après que la tante de la mariée aie « testé » la pureté de sa nièce et
couché avec le marié pour vérifier également sa puissance sexuelle.
Source: afrikmag.com