L’opposant congolais Martin Fayulu qui continue à réclamer la
victoire à la présidentielle du 30
décembre 2018 en RDC, a demandé, à son arrivée à Bruxelles pour une tournée euro-américaine, que la volonté du peuple congolais exprimée lors de dernières élections, soit respectée.
décembre 2018 en RDC, a demandé, à son arrivée à Bruxelles pour une tournée euro-américaine, que la volonté du peuple congolais exprimée lors de dernières élections, soit respectée.
"Félix Tshisekedi doit comprendre que le peuple d’abord veut dire :
‘respecter sa volonté’. On ne peut pas trafiquer la décision du peuple,"
a-t-il répondu à une question lors d’une conférence avec des Congolais
de la diaspora à l’université de Vrije de Bruxelles.
Le candidat malheureux congolais a expliqué qu’il
était "le président élu" et qu’il ne pouvait "pas travailler avec son
frère Félix Tshisekedi" (le vainqueur proclamé pour la présidentielle)
"dans le cadre des résultats fabriqués dans le laboratoire de Corneille
Nangaa" (le président de la Commission électorale nationale
indépendante)… "dans un cadre ici frauduleux", a-t-il explicité.
Pour lui, "faire la volonté du peuple, c’est ne pas accepter d’être
nommé mais rentrer auprès du peuple pour lui demander de reconfirmer sa
volonté puisqu’il y a doute".
M. Fayulu propose le recomptage des voix ou alors de nouvelles élections dans les six mois à venir.
Son recours a été jugé non-fondé par la Cour constitutionnelle qui a
proclamé Félix Tshisekedi président élu en janvier dernier. Lequel a été
investi le 24 janvier dernier.
Par VOA Afrique