L’ancien Premier
ministre français a entamé des négociations avec le Parti socialiste
espagnol
(PSOE) pour entrer dans le nouveau gouvernement, révèle le site Moncloa. Selon ce dernier, Manuel Valls pourrait devenir le nouveau ministre des Affaires étrangères de l’Espagne.
(PSOE) pour entrer dans le nouveau gouvernement, révèle le site Moncloa. Selon ce dernier, Manuel Valls pourrait devenir le nouveau ministre des Affaires étrangères de l’Espagne.
Une rencontre entre Manuel Valls
et des représentants du Parti socialiste espagnol (PSOE) a eu lieu le
19 juin au soir, révèle le site espagnol Moncloa. Selon celui-ci, ce
parti politique, arrivé en tête des européennes en Espagne, veut
intégrer l’ancien Premier ministre français dans le gouvernement du
pays.
Moncloa précise que M.Valls pourrait remplacer Josep Borrell, l’actuel ministre des Affaires étrangères proposé par Madrid pour un poste au sein de la Commission européenne. M.Borrell dirigeait la liste des socialistes espagnols qui ont remporté le scrutin du 26 mai avec 33% des votes.
D’après Moncloa, «la position très pro-européenne de Manuel Valls et
sa vision critique vis-à-vis du mouvement indépendantiste catalan en
font un candidat idéal» pour conduire la diplomatie nationale.
Dans le même temps, le média indique que l’entrée de M.Valls dans le gouvernement peut «éclipser» le Premier ministre Pedro Sanchez, «une situation que le PSOE préfère éviter».
Auparavant, l’ancien chef de l’exécutif français avait brigué le poste de maire de Barcelone. Mais lors des élections municipales du 26 mai dernier, il n’avait obtenu que 13% des voix et avait été devancé par le candidat du parti indépendantiste Gauche républicaine de Catalogne, Ernest Maragali (plus de 21%), ainsi que par la maire sortante Ada Colau (près de 21%) et par le candidat du Parti socialiste, Jaume Collboni (environ 18%).
Par sputnik
Dans le même temps, le média indique que l’entrée de M.Valls dans le gouvernement peut «éclipser» le Premier ministre Pedro Sanchez, «une situation que le PSOE préfère éviter».
Auparavant, l’ancien chef de l’exécutif français avait brigué le poste de maire de Barcelone. Mais lors des élections municipales du 26 mai dernier, il n’avait obtenu que 13% des voix et avait été devancé par le candidat du parti indépendantiste Gauche républicaine de Catalogne, Ernest Maragali (plus de 21%), ainsi que par la maire sortante Ada Colau (près de 21%) et par le candidat du Parti socialiste, Jaume Collboni (environ 18%).
Par sputnik
